Espace Libre tient à exprimer sa profonde reconnaissance envers les membres de l’équipe de B&C France qui, à l’occasion de leurs 15 ans, nous ont consacré une double page au sein d’un très bel ouvrage rétrospectif.

Un grand merci à Luc Besson et à Olivier CANTIE pour la confiance qu’ils nous ont accordée ainsi que pour les belles collaborations passées et à venir !

Nous sommes également très impressionnés par le niveau de professionnalisme et de rigueur de votre équipe éditoriale.

𝘍𝘦́𝘭𝘪𝘤𝘪𝘵𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴 !

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𝗢𝗟𝗜𝗩𝗜𝗘𝗥 𝗖𝗔𝗡𝗧𝗜𝗘, 𝗖𝗢𝗙𝗢𝗡𝗗𝗔𝗧𝗘𝗨𝗥 𝗗𝗘 𝗕&𝗖 𝗙𝗥𝗔𝗡𝗖𝗘, 𝗡𝗢𝗨𝗦 𝗟𝗜𝗩𝗥𝗘 𝗦𝗢𝗡 𝗥𝗘𝗚𝗔𝗥𝗗 𝗦𝗨𝗥 𝗟𝗔 𝗚𝗘𝗡𝗘𝗦𝗘 𝗗’𝗨𝗡𝗘 𝗛𝗜𝗦𝗧𝗢𝗜𝗥𝗘 𝗛𝗨𝗠𝗔𝗜𝗡𝗘 𝗘𝗧 𝗣𝗥𝗢𝗙𝗘𝗦𝗦𝗜𝗢𝗡𝗡𝗘𝗟𝗟𝗘 𝗙𝗥𝗨𝗖𝗧𝗨𝗘𝗨𝗦𝗘 :

« L’aventure a débuté lorsque, dans le cadre du projet de recherche de son siège, j’ai fait la connaissance de Luc. On était alors en 2003 et j’avais déjà la sensation qu’il y avait de la place pour une offre de services différente sur notre marché de l’immobilier tertiaire. Nous nous sommes rapidement compris, faits confiance et complétés…ce fut, en 2006, le début de l’aventure B (Besson) & C (Cantié).

Au fil des quinze dernières années, B&C France n’a cessé d’évoluer, de se développer, de s’expérimenter, de se transformer pour se structurer et atteindre une maturité gratifiante autant que stimulante au quotidien. Nous nous sommes enrichis de toutes ces interactions humaines, internes autant qu’externes à la société, qui constituent notre activité et sans lesquelles nous n’aurions pas de raison d’être.

En sa qualité de capitaine d’industrie, Luc a su apporter tout au long de cette aventure commune un regard créatif et disruptif, précieux et sensé et ce, toujours avec bienveillance et la plus grande justesse.

Aujourd’hui, j’espère pouvoir qualifier B&C France comme un acteur reconnu sur son marché, et c’est une immense satisfaction. Chaque jour est une nouvelle expérience, un nouveau challenge, une nouvelle opportunité de se surpasser.
Je suis fier de mener les merveilleuses équipes qui composent si précieusement l’ADN de notre groupe vers des défis toujours plus grands et enrichissants.
Vivement la suite… »

Olivier Cantié